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Pour l'édition 2025, le Festival Musiques au Pays de Pierre Loti accueille les artistes :

Ensemble

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©Maude Fourgeot

Songe d'Orient

Songe d'Orient est un ensemble musical basé à Paris, sous la direction de Raphael Mas. Composé de neuf musiciens, dont la soprano Margaux Loire, la soprano Solène Laurent, le ténor Vincent Guérin , le baryton David Turcotte , la pianiste Flore-Élise Calpelier, le violoniste Violette Boulanger, le oudiste Yacine Fadhil, le mandoliniste Federico Calvo et le percussionniste Wadie Naïm. Ils apportent chacun leur propre style et leur propre expérience musicale à l'ensemble.


L'une des particularités de Songe d'Orient est que les musiciens viennent de formations différentes, allant du chant lyrique, du répertoire classique à la tradition arabo-andalouse et classique arabe. Cette variété de formation permet à l'ensemble de revisiter différents patrimoines musicaux en incorporant des éléments de chaque culture et tradition musicale pour créer une fusion unique. Les musiciens travaillent ensemble pour trouver leur propre façon de collaborer et créer une harmonie entre les différentes sonorités.


Le programme musical de l'ensemble est en 12 langues. Un défi pour les chanteurs qui chantent en arabe, persan, arménien, azeri, latin, espagnol, anglais, etc. Il est composé de pièces du répertoire orientaliste, grégorien, araboandalou, classique arabe et contemporain classique. Songe d'Orient fait également appel à un arrangeur, Thomas Lépilliez, pour adapter certaines pièces et mieux s'approprier le répertoire.


Songe d'Orient a pour vocation de voyager à l'international avec ce programme éclectique, afin de partager leur démarche avec un public varié et diversifié. Les musiciens cherchent à faire découvrir les liens et les influences de chaque culture musicale pour incarner en musique "l'unité dans la diversité". Leurs représentations sont une invitation à découvrir et à s'ouvrir à d'autres cultures musicales.

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©Claire Douieb

Tchalik

Le Quatuor Tchalik présente la caractéristique unique d’être constitué de quatre frères et soeurs. Bercés par une tradition familiale où la musique tient un rôle central, ils jouent ensemble depuis leur plus jeune âge. Cette immersion au coeur de la musique de chambre leur a permis de développer un jeu naturel, une respiration collective et une communion artistique d’exception.


Ces qualités ont été reconnues dès le premier concours international auquel le Quatuor Tchalik a participé. En février 2018, il a en effet brillamment remporté le Premier Prix lors du Concours Mozart de Salzbourg, le jury lui décernant également le Prix Spécial pour la meilleure interprétation d’un quatuor de Mozart.


Le Quatuor Tchalik se produit en France dans des festivals et salles reconnus tels que Radio France Occitanie à Montpellier, les Flâneries Musicales de Reims, le Nohant Festival Chopin, la Biennale de Quatuor à Cordes de la Philharmonie de Paris, la Salle Gaveau ou le Théâtre des Champs Elysées dans la saison des concerts du dimanche matin. Sur la scène internationale, il est invité notamment au Concertgebouw d’Amsterdam, au Mozarteum Salzbourg, aux Philharmonies de Cologne et de Dresde. Les grands festivals allemands lui font confiance comme le Mozartfest Würzburg, le Rheingau Festival, le Heidelberger Frühling ou le Mecklenburg-Vorpommern Festival. En décembre 2019, le Quatuor Tchalik effectue avec succès sa première tournée en Chine. Il joue également régulièrement à la radio, sur les ondes de France Musique, Radio Classique, Musiq’3 (RTBF), SWR2, Espace 2 (RTS), BBC3…


En parallèle à sa présence sur les scènes du monde entier, le Quatuor Tchalik fonde son propre label indépendant, Alkonost Classic, et développe une intense activité discographique. Ses albums consacrés à Thierry Escaich et Saint-Saëns ont obtenu deux Choc de Classica et son album Reynaldo Hahn, couronné par la critique internationale, a notamment reçu un ffff de Télérama. Ses deux derniers enregistrements consacrés aux musiques russe et ukrainienne ont également été salués par la critique.


Le Quatuor Tchalik se passionne également pour le répertoire contemporain. Il a ainsi créé les oeuvres de personnalités telles que Jacques Boisgallais, Michèle Reverdy, Bastien David, Pierre Farago et Thierry Escaich. En 2024 il assure la création mondiale des Voix de l’indicible de Fabien Waksman.


Les temps forts de la saison 2024-25 mèneront le quatuor au Concertgebouw de Nimègue, à Perugia Musica Classica, au Schwetzinger SWR Festspiele, au Mozartfest Würzburg, à l’Auditorium National de Lyon et par deux fois au Théâtre des Champs-Elysées.


Le Quatuor Tchalik s’est formé auprès de Günter Pichler (1er violon et fondateur du Quatuor Alban Berg) à la prestigieuse Escuela Superior de Mùsica Reina Sofía à Madrid. Il a également étudié auprès de chambristes de grande renommée, tels que Jan Talich et Vladimír Bukač (Quatuor Talich), Yovan Markovitch (Ex-Quatuor Ysaye/Quatuor Danel), Heime Müller (Quatuor Artemis), Johannes Meissl (Quatuor Artis) et Krzysztof Chorzelski (Quatuor Belcea).


Le Quatuor Tchalik joue sur des instruments du luthier Philippe Mitéran et avec des archets de l’archetier Konstantin Cheptitski, fabriqués spécialement à son intention. Depuis début 2024, le quatuor joue un quatuor d'archets classiques réalisé par Jean-Yves Tanguy.


Les membres du Quatuor Tchalik se produisent régulièrement en quintette avec leur frère pianiste, Dania Tchalik, mais également dans différentes formations avec des musiciens tels qu’Edgar Moreau, Pierre Génisson, Henri Demarquette, Victor Demarquette, Thierry Escaich, Adam Laloum, Fanny Azzuro ou les comédiens Pierre Hancisse et Alain Langlet.


A l’automne 2024 le Quatuor Tchalik ouvre une classe de quatuor à cordes à l’École normale de musique de Paris.

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©Chapelle Harmonique

La chapelle harmonique

La Chapelle Harmonique a été fondée en 2017 par Valentin Tournet. Elle réunit un choeur et un orchestre jouant sur instruments d’époque. Le choix du répertoire, principalement centré sur l’oratorio et l’opéra baroque, s’accompagne d’une volonté de renouveler l’approche des grandes oeuvres, en s’intéressant en particulier à des éditions moins connues et usitées : Passion selon Saint-Jean (seconde version) ou Magnificat (version dite de Noël) de Bach, ouvrages scéniques de Rameau.
En parallèle à ces concerts recourant à un grand effectif, l’ensemble a fait le pari de projets chambristes pluridisciplinaires et novateurs, qui lui ont permis de collaborer avec des personnalités dans et en dehors du monde dit classique, telles que Jean-François Zygel (Double Bach), Lou de Laâge, Jennifer Decker & Alex Vizorek (Fables de La Fontaine), en partenariat avec des institutions comme la Comédie française ou la Cité internationale de la BD et de l’image d’Angoulême. Cette double activité permet à Valentin Tournet de passer de l’activité de chef d’orchestre à celle d’instrumentiste, dans un échange nourricier avec les pratiques musicales qu’il a privilégié au fil de son évolution. À cela s’ajoute une démarche volontaire d’éducation artistique et culturelle menée en lien avec les Académies de Limoges et de Versailles.
La Chapelle Harmonique est régulièrement invitée à l’Auditorium de Radio France, à l’Auditorium du Louvre, au Château de Versailles ; elle a également bénéficié de résidences au Festival d’Auvers-sur-Oise ainsi qu’au Festival de Saint-Denis. Ses débuts lyriques ont pris place au Festival International d’Opéra Baroque de Beaune avec les Indes galantes de Rameau.
La Chapelle Harmonique enregistre depuis 2019 pour le label Château de Versailles Spectacles. L’ensemble a pu ainsi expérimenter et s’approprier plusieurs espaces de ce lieu mythique du patrimoine historique français : Chapelle Royale, Salle des Croisades, Salle des Batailles. Son premier album consacré au Magnificat et Cantates de Bach pour Noël est paru en 2019, suivi des Indes galantes de Rameau en 2021, des Paladins de Rameau et des Motets de Bach en 2022, et du Te Deum de Charpentier en 2023. La sortie de Platée est prévue en 2025, dans cette même collection.
SNCF Immobilier et Jolt Capital sont mécènes de La Chapelle Harmonique. Ses activités bénéficient également du soutien de la Spedidam. La Chapelle Harmonique est aidée par la Direction régionale des affaires culturelles de Nouvelle-Aquitaine, la Région Nouvelle-Aquitaine et le Centre national de la musique.
L’ensemble est en résidence à la Fondation Singer-Polignac.

Ces gens-là

Créée en 2016, la compagnie Ces Gens-là est née du désir de porter sur un plateau de théâtre les imaginaires sonores associés aux musiques jouées par la violoniste et chanteuse. Tissant le fil de ses spectacles sur les paroles des chants ou un texte extrinsèque pour la musique instrumentale, la compagnie fait appel à différents metteurs en scène pour porter à l'image chaque univers esthétique, du hawaiian jazz à la musique de Schubert, de la musique de répertoire aux commandes à des auteurs compositeurs.

Découverte de styles musicaux, questions-réponses sur un bord plateau : chaque projet propose une relecture des musiques, un redéploiement de leur sens, et une proposition théâtrale en lien avec les arts du spectacle vivant. Marie Salvat y associe toujours des productions en direction du jeune public et des ateliers de médiation culturelle. Son axe de travail principal est de décloisonner la musique dite classique et de l’emmener ailleurs et surtout à tout le monde.

 

Ces gens-là, c’est une chanson de Jacques Brel qui dépeint le quotidien d’une famille de prolétaires vu de son point de vue de bourgeois catholique. Son ami Georges Brassens aimait d’ailleurs à l’appeler « le curé ». Brel y dénonce le racisme de classe, qui pointe du doigt ces gens-là, d’une classe sociale populaire, et qui finit par «  chez ces gens-là, on ne s’en va pas ».

 

La musique classique, comme toute expression d’un patrimoine, est un marqueur culturel fort de reconnaissance et peut malheureusement servir à de l’entre soi. Avec la compagnie Ces gens-là, cette musique est prétexte à un motif plus grand : pouvoir diffuser le message fort que la sociologie nous apprend, le concept de la reproduction sociale des milieux socioculturels. Pour ce faire, la compagnie propose en lien avec les commandes et demandes de partenaires du champs social, médical ou artistiques des formes soit de concerts, soit de médiations culturelles, soit de spectacles.

Musiciens

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©Odile Motelet

Anna Cardona Esteva

Née à Barcelone, Anna Cardona étudie au Conservatori Superior Municipal de Musica de sa ville natale. En 2004, elle s’installe à Londres afin d’y étudier le piano en solo avec Peter Bithell et le piano d’accompagnement avec Graham Johnson, Eugene Asti et Pamela Lidiard à la Guildhall School of Music and Drama. Elle y obtient un master de piano solo, ainsi qu’un master de piano d’accompagnement et le prix d’accompagnement au concours de la Gold Medal.

Elle est la gagnante du prix MBF à la prestigieuse compétition Kathleen Ferrier de Londres en 2010, la gagnante du prix duo à la Compétition de mélodie française de Toulouse en 2013 avec la soprano Clara Meloni, et est sélectionnée pour être l’une des artistes du Festival Oxford Lieder au Royaume-Uni avec le baryton Victor Sicard. Avec lui, elle gagne aussi la 23e compétition internationale Paper de Musica de Capellades.

 

Elle se produit régulièrement dans toute l’Europe et elle a entre autre joué plusieurs fois pour France Musique en direct, pour le festival Oxford Lieder, au Wigmore Hall, au Barbican Hall, l'Auditori Nacional de Catalunya et le Palau de la Música à Barcelone, au Teatro Marcello à Rome, au Théâtre de la Coupe d'or à Rochefort, Petit Palais à Paris ou le Théâtre du Capitol à Toulouse.

Elle a enregistré un CD des mélodies de Ravel avec le baryton Victor Sicard, pour le label La Musica.

 

Passionnée de musique de chambre, elle se produit aussi avec d’autres instruments, notamment en piano duo avec la pianiste Imma Santacreu; et avec le duo Mumuki (musique de Piazzola) avec la violoniste Jeanne Robert.

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©Yann Rabanier

Valentin Tournet

Baignant dans un environnement musical depuis sa naissance en 1996, Valentin Tournet débute la viole de gambe à l’âge de 5 ans.
Il se passionne rapidement pour cet instrument qu’il étudie d’abord aux Conservatoires d’Issy-les-Moulineaux et de Cergy-Pontoise (2001-2012), puis aux Conservatoires de Bruxelles et de Paris (2014-2018) auprès de Christophe Coin et Philippe Pierlot. Il reçoit également les conseils de Jordi Savall. Son travail et sa passion pour son instrument lui permettent d’être le premier violiste nommé dans les Révélations des Victoires de la Musique Classique en 2022.
Sa découverte de l’orchestre à l’Opéra de Paris au sein de la Maîtrise des Hauts-de-Seine (2007-2010) fait naître sa passion pour la direction, qu’il apprend auprès de Pierre Cao. En parallèle, il rencontre Philippe Herreweghe, qui l’invite à suivre son travail au sein de ses divers ensembles.
En 2017, il fonde l’ensemble La Chapelle Harmonique qui réunit un choeur et un orchestre jouant sur instruments d’époque. Avec cet ensemble, il aborde les oratorios de Bach, Haendel et la musique de scène de Rameau dans un souci de retour aux textes originaux, d’interrogations esthétiques et stylistiques, tout en s’inscrivant dans notre époque.
Valentin Tournet et La Chapelle Harmonique ont fait leurs débuts au Festival de Beaune et à l’Opéra Royal du Château de Versailles (Les Indes galantes de Rameau, 2019), à l’Auditorium de Radio-France et au Festival de Saint-Denis (le Messie de Haendel, 2019, 2021). Ils ont également bénéficié d’une résidence au Festival d’Auvers-sur-Oise (2018-2021) et se sont engagés dans des créations chambristes pluridisciplinaires à l’Auditorium du Louvre en écho aux programmations du musée. Soucieux d’irriguer le territoire creusois où a été tourné le célèbre film d’Alain Corneau Tous les matins du monde, Valentin Tournet fonde en 2019 le Festival Musique à la source, souhaitant partir à la rencontre de nouveaux publics, apporter aux populations locales un répertoire peu présent jusqu’alors dans cette région, tout en mettant en valeur son patrimoine historique et architectural.
Ses enregistrements paraissent sous le label Château de Versailles Spectacles. Le premier, consacré au Magnificat et Cantates de Bach pour Noël, est paru en 2019, suivi des Indes galantes (2021), de la première intégrale des Paladins de Rameau, des Motets de Bach (2022) et du Te Deum de Charpentier (2023). La sortie de Platée est prévue en 2025, dans cette même collection.
« Le jeune chef et fondateur de La Chapelle Harmonique est l’une des valeurs montantes de la musique baroque en France. » Thierry  Hillériteau (Le Figaro, 2019) « Roi de la viole de gambe et chef d’orchestre à 23 ans, Valentin Tournet est le nouveau prodige du baroque. » André Tubeuf (Le Point, 2019)

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©Jocelyn Loyer

Marido Loyer

Pianiste, elle a été élève tout d’abord au conservatoire d’Amiens où elle a obtenu ses prix de piano, musique de chambre et solfège.

Elle se spécialise ensuite en accompagnement auprès d’Isabelle Aboulker tout en continuant à se perfectionner en piano auprès de Pierre Barbizet.

Elle est titulaire du DE de piano depuis 1996.

Elle enseigne le déchiffrage -piano et le piano au conservatoire à rayonnement régional d’Amiens depuis janvier 1994.

 

Chanteuse, elle se produit régulièrement en récital avec piano et également en concert soliste de musique sacrée avec orchestre (églises de la Madeleine et de Saint -Germain- des- Près à Paris, cathédrales de Beauvais et Saint Malo).

Depuis 2005, elle est Madame Graines d’Epice dans le spectacle « Cabaret Moderne » au côté de Jocelyn Loyer. Cette pièce écrite et mise en scène par eux-mêmes est conçue autour de la chanson française et de la mélodie. Elle raconte l’histoire d’un couple pas banal dans un décor aux  couleurs des films de Tati. Ce spectacle a été joué dans plusieurs salles et festivals dans toute la France : festival « Jazz à Montonvillers », le Safran à Amiens, le théâtre du jeu de paume à Albert, le festival de Saintes.

Elle enseigne également à de nombreux élèves qu’elle conseille et accompagne pendant leur cursus dans de prestigieuses écoles supérieures mais également dans la préparation des concours et la gestion de leur carrière.

 

Avec Hélène Carpentier, elle forme un duo de musique de chambre qui se produit régulièrement en récital : France Musique (Génération Jeunes Interprètes) en 2018, festival Debussy (Argenton-sur-Creuse en 2018), la Seine Musicale (récital Poulenc) en 2019, la Symphonie des Genres en 2021 et 2024.

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©DR

Marie-Elise Boyer

Dr. Marie-Elise Boyer est une pianiste française et a reçu son Doctorat en Collaborative Piano au New England Conservatory à Boston en 2025. Sa thèse se concentre sur la biographie et les mélodies de la compositrice anglaise Adela Maddison. À NEC, elle a bénéficié de l’inspiration et des conseils de pianistes tels que Cameron Stowe, Jonathan Feldman, Tanya Blaich, Kayo Iwama et Margo Garrett.
Avant de partir aux Etats-Unis, Marie-Elise Boyer a travaillé pendant dix ans en Allemagne comme chef de chant et coach de français dans différents théâtres allemands, notamment à la Staatsoper Hamburg et au Staatstheater Nürnberg.
Elle a par ailleurs été invitée par Cape Town Opera (Afrique du Sud) pour y coacher les jeunes chanteurs du studio.
Ses études pianistiques en France ont débuté au conservatoire de St-Etienne avec Roland Meillier et continué au CRR de Paris dans la classe de Jean-Marie Cottet où elle a obtenu un Premier Prix. Elle s’est ensuite perfectionnée en accompagnement au CRR de Lyon avec Marie-Cécile Milan où elle a reçu deux Premiers Prix à l’unanimité en accompagnement et en écriture.
Marie-Elise Boyer a poursuit ses études à la Guildhall School of Music and Drama, à Londres, où elle a bénéficié de l’enseignement de Martin Roscoe. Elle a également participé aux classes de création vocale contemporaine dirigées par Sarah Walker, où elle a pu approfondir le travail avec les compositeurs. Après l’obtention avec mention d’un Master of Music et d’un Master of Performance en accompagnement et en chef de chant, elle s’est perfectionnée au National Opera Studio à Londres pendant un an.
Marie-Elise Boyer se produit régulièrement lors de récitals de mélodie et de musique de chambre; on a pu l’entendre à la Sala Maffeiana à Vérone (Italie) ou encore à Jordan Hall à Boston (USA). Passionnée par la mélodie et le lied, elle a obtenu le premier prix du concours Elsa Respighi à Vérone (Italie) en 2018 en duo avec la soprano canadienne Leah Gordon.

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©Odile Motelet

Victor Sicard

Sens inné du jeu théâtral, voix aussi souple que brillante et diction parfaite, jeu d’acteur inventif et toujours juste, le jeune baryton Victor Sicard semble avoir tout pour lui, ce que confirment les  nombreuses invitations venant de salles et maisons d’opéra prestigieuses.
Depuis sa participation au sixième Jardin des Voix de William Christie, qui lui permet de partir en tournée internationale avec l’orchestre des Arts Florissants, Victor Sicard chante avec les ensembles les plus renommés de la scène musicale : Le Concert d'Astrée (Emmanuelle Haïm), Les Accents (Thibault Noally), Le Concert Spirituel (Hervé Niquet), Aedes (Mathieu Romano), Le Poème Harmonique (Vincent Dumestre), Vox Luminis (Lionel Meunier), La Cappella Mediterranea (Leonardo García Alarcón), Insula Orchestra (Laurence Equilbey) ou encore Il Pomo d’Oro.
Dans le domaine de l’opéra, Victor Sicard s’avère remarquable dans la musique française, de la tragédie lyrique aux ouvrages du XXe siècle.
En témoignent son incarnation de Tisiphone dans L’Amour et Psyché de Mondoville avec Le Concert d’Astrée (Opéras de Dijon et de Lille, Grand Théâtre de Luxembourg) ou, plus récemment, les rôles de La Jalousie et Némésis dans Idoménée de Campra avec la même formation (Opéra de Lille, Staatsoper de Berlin). Victor Sicard fait ses débuts au Théâtre des Champs-Élysées dans Iphigénie en Tauride de
Gluck (Thomas Hengelbrock et Robert Carsen) et incarne dans la même salle Le Bonze dans Le Rossignol de Stravinski et Le Gendarme dans Les mamelles de Tirésias de Poulenc (François-Xavier Roth et Olivier Py). Ses débuts au Théâtre du Capitole de Toulouse s’effectuent dans le rôle de Morales dans Carmen (Giuliano Carella et Jean-Louis Grinda). Par la suite, il chante avec un très vif succès le rôle de Claude dans Ô mon bel inconnu de Hahn mis en scène par d’Émeline Bayart (Opéra de Tours,Théâtre de l’Athénée, Opéra de Dijon, Opéra de Rouen, Opéra d’Avignon).
Victor assume avec une égale maestria la virtuosité de l’opéra italien.
Dans la musique du XVIIIe siècle, il collabore à deux reprises avec Il Pomo d’Oro (Partenope et Serse de Händel) ou encore Les Accents de Thibault Noally (Farnace dans Mitridate Eupatore de Scarlatti au Festival de Beaune et au Concertgebouw d’Amsterdam, Tempo dans Il Trionfo del Tempo à l’Opéra de Tours et Farnace dans Rinaldo de Händel au Théâtre des Champs-Elysées, Auditorio Nacional de Madrid, Festival de Beaune, Palau de la Musicà Catalana de Barcelone).
Incontestablement, il a noué des liens privilégiés avec Leonardo García Alarcón et sa Cappella Mediterranea : après Orlando dans Il Palazzo Incantato de Rossi (Opéras de Dijon, Nancy et Versailles), il a incarné Genere umano dans Il dono della vita eterna de Draghi pour une tournée aux Pays-Bas puis en France (Versailles, Dijon…) et créé le rôle de Saint Pierre dans la composition de Leonardo García Alarcón intitulée La Passione di Gesù (Festival d'Ambronay, Namur Concert Hall, Festival de Saint-Denis et au Victoria Hall de Genève).
Récemment, il a pu démontrer ses dons dans Rossini avec Haly de L’Italienne à Alger avec Jean-Christophe Spinosi (Festival de Beaune et Théâtre des Champs-Élysées). Il effectue sa prise de rôle avec Yamadori dans Madama Butterfly de Puccini aux Opéras de Limoges et Rouen – dans cette maison, il chante également le rôle du Maire dans Jenůfa de Janáček. La création lui réussit également : Coraline de Turnage avec Arie Van Beek et dans une mise en scène d’Aletta Collins (Lille) ou Hellebore de Philippe Forget (Limoges).
Son répertoire d’oratorio comprend le Requiem de Mozart (Royal Albert Hall), la Petite Messe solennelle de Rossini (Théâtres de Caen, Opéra de Massy), le Requiem de Duruflé (Opéra de Dijon), la Passion selon Saint Jean mais aussi des cantates et motets de Bach (Insula Orchestra et Laurence Equilbey). Deux vastes tournées (Luxembourg, Lille, Versailles, Dijon, Cologne, Essen, Berlin, Stuttgart…) avec Le Concert d’Astrée lui ont permis d’interpréter le Magnificat de Bach, le Dixit Dominus de Händel et le Requiem de Campra. Mentionnons ses débuts avec le Philharmonique d’Israël sous la direction de Lahav Shani à Tel-Aviv et Haifa dans le Magnificat de Bach.
La saison 2024/2025 confirme l’ouverture musicale de Victor Sicard: rôle de Roberto pour la recréation mondiale de L’Uomo Femina de Galuppi avec Le Poème Harmonique et une mise en scène signée par Agnès Jaoui sur les scènes européennes les plus prestigieuses (Dijon, Versailles, Caen, Madrid), sans oublier la reprise des Mamelles de Tirésias (Le Gendarme) de Poulenc à l’Opéra de Cologne. Il retrouvera également l’ensemble I Gemelli pour une tournée des Vêpres de Monteverdi (Concertgebouw d’Amsterdam et Palau de la Musica Catalana de Barcelone).
Son premier disque récital (label La Música) consacrée aux mélodies de Ravel aux côtés de la pianiste Anna Cardona a rencontré un accueil très enthousiaste de la presse.
Victor est aussi le directeur artistique du festival Musiques au pays de Pierre Loti qui a lieu à Rochefort et sur l’île d’Oléron.

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©Jérémy Torres

Hélène Carpentier

C’est en 2018, après avoir remporté le premier prix et le prix de la meilleure interprétation du répertoire français du concours Voix Nouvelles, que la soprano lyrique Hélène Carpentier débute sa carrière. Elle était déjà lauréate de plusieurs autres concours comme ceux de Bordeaux,
Marmande et Avignon et est nommée la même année « Révélation classique » par l’ADAMI.
Pianiste et flûtiste de formation, Hélène Carpentier découvre la chant à Amiens, sa ville natale, auprès de sa professeure Marido Loyer. Elle poursuit sa formation au chœur d’adultes de la Maîtrise Notre-Dame de Paris puis au Conservatoire National Supérieur de Musique et de Danse de Paris.
Rapidement, on lui confie des rôles de premier plan comme Micaëla dans Carmen au Théâtre des Champs Elysées et Madeleine dans Le Postillon de Lonjumeau à l’opéra de Rouen en 2019.
Parmi ses premières production, citons le Requiem de Mozart dans la mise en scène de Yoann Bourgeois à la Seine Musicale, avec Insula Orchestra, le choeur Accentus et Laurence Equilbey, avec qui elle collabore régulièrement depuis lors. Elle a d’ailleurs chanté avec cet ensemble le rôle de Marzelline dans Fidelio à la Seine Musicale, au Bozar de Bruxelles et au Barbican center de Londres.
En 2022, elle effectue un remplacement de dernière minute à l’opéra de Rouen, et relève le défi d’apprendre le rôle d’Iphigénie en Tauride de Gluck en quelques jours seulement, mis en scène par Robert Carsen et sous la direction de Christophe Rousset ; un tournant majeur dans sa carrière reconnu par la critique.
Bien qu’elle mette un point d’honneur à explorer toutes les musiques, ses prédispositions pour le répertoire français sont indéniables et reconnues, notamment l’opéra français de la fin du XIXème et début du XXème siècle. En 2023, elle chante le rôle titre de Cendrillon de Massenet à l’opéra de Limoges, Juliette dans Roméo et Juliette de Gounod à l’opéra de Québec, Inès dans l’Africaine de Meyerbeer à l’opéra de Marseille et Sophie dans Werther au théâtre Carlo Felice de Gênes. Elle a d’ailleurs enregistré avec le Palazetto Bru zane le rôle de Sophie au Müpa de Budapest.
La musique baroque française fait également partie des répertoires qu’elle tient à défendre. En 2022, elle chante le rôle d’Électre dans Idoménée de Campra à l’opéra de Lille et au Staatsoper de Berlin, avec Le Concert d’Astrée sous la direction d’Emmanuelle Haïm.
Elle collabore aussi régulièrement avec le Centre de Musique Baroque de Versailles et Le Concert Spirituel, avec qui elle enregistre Ariane et Bacchus de Marais et Médée de Charpentier, sous la direction d’Hervé Niquet.
Récemment, elle a enregistré Les Fêtes grecques et romaines de Colin de Blamont à l’opéra de Versailles, avec la Chapelle Harmonique sous la direction de Valentin Tournet.
On a pu l’entendre en 2024 dans des oeuvres très différentes comme les Vier letzte lieder de Strauss à la salle Poirel de Nancy, Le Stabat Mater de Dvoràk à l’opéra de Limoges ou La Damoiselle élue de Debussy, salle Flagey à Bruxelles. Elle a également effectué trois prises de rôle, Eurydice dans Orphée et Eurydice de Gluck à l’opéra de Toulon, Violetta dans La Traviata dans le cadre du festival breton « Parenthèses musicales de Saint-Maurice » et Susanna dans Le Nozze di Figaro de Mozart à l’opéra de Marseille. Elle avait d’ailleurs chanté plusieurs rôles de Mozart auparavant,
Despina dans Così fan tutte en 2019 à l’opéra de Nice et Pamina dans die Zauberflöte en 2022 à l’opéra national du Rhin.
Parmi ces projets pour la saison 2024/2025, nous pouvons citer un enregistrement et concert avec le Palazetto Bru zane de l’Ancêtre de Saint-Saëns dans le rôle de Margarita à l’auditorium Rainier III de Monte-Carlo, la prise de rôle de Blanche de la Force dans les Dialogues des Carmélites de Poulenc à l’opéra de Rouen, celle de Leïla dans Les pêcheurs de perles de Bizet à l'opéra de Dijon, un enregistrement et concert de Persée de Lully dans le rôle de Mérope au Théâtre des ChampsÉlysées aux côtés du Concert Spirituel et du Centre de Musique Baroque de Versailles , un Requiem de Mozart dans le cadre de la réouverture de la cathédrale Notre-Dame de Paris, une Neuvième symphonie de Beethoven au festival d'Auvers-sur-Oise, ainsi qu’un récital de mélodie française dont Shéhérazade de Ravel, à Saint-Georges d’Oléron dans le cadre du festival Musiques au Pays de Pierre Loti.

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©DR

Sophie Boyer

La mezzo-soprano Sophie Boyer se produit comme soliste et chambriste assumée et, depuis 2020 elle consacre une partie de son temps à remettre en lumière une compositrice oubliée: Marguerite Labori.

Tout d’abord formée à la Maîtrise de la Loire (dirigée par Jacques Berthelon), elle poursuit ses études au CRR, au Centre de la Voix et au CNSMD de Lyon, avant d'intégrer la Guildhall School of Music and Drama de Londres, auprès de Sarah Pring et Robin Bowman, d'où elle sortira diplômée d'un Bachelor with Honours.

Elle participe aux masterclasses de Cheryl Studer (Académie des Arts, Berlin), du Centre de Mélodie française (Tours) avec François Leroux et Jeff Cohen, et à celles de son professeur Neil Semer.

 

Jeune chanteuse alors soprano, elle est finaliste du Concours International de Mélodie de Française de Toulouse; William Christie lui confie le rôle de Vénus dans l'Europe Galante de Campra au Festival d'Ambronay, Hervé Niquet des soli d’oratorios au Festival de Lessay notamment.

 

Elle collabore régulièrement avec l’Opéra de Clermont-Ferrand où elle incarne des rôles mozartiens (Zerlina, Despina), les héroïnes d’ Offenbach. Elle s’illustre plus récemment en compagnie du Midsummer Opera (Londres) dans le rôle poignant de Blanche de la Force dans les Dialogues des Carmélites de Francis Poulenc. En 2022 elle interprète les rôles de la Prêtresse et de la Femme grecque à l’Opéra de Rouen dans Iphigénie en Tauride, sous la direction de Christophe Rousset.

 

Pour Sophie Boyer, le récital classique est avant tout une rencontre pensée et conçue en duo. Peut-être est ce parce qu elle fut violoncelliste avant d'être chanteuse ? Aussi l'on retrouve ses complices sur l ensemble de son parcours riche et colore.

Avec l’accordéoniste Thierry Bouchet elle forme un duo autour de transcriptions de mélodies romantiques et de créations contemporaines et s’illustre dans divers festivals dont Musique au Présent. Ils créent ‘Une seule phrase sur un berceau de nuages’ de Lucien Guérinel.

Avec Alissa Zoubritski, rencontrée pendant les années londoniennes, elles construisent dans une étonnante liberté des programmes centrés sur les mélodies de Francis Poulenc. Un premier clip est visible sur leur chaîne YouTube

 

La sensibilité et l'agilité de Sophie Boyer sont également remarquées dans le domaine contemporain avec par exemple, en avant-première, la creation du rôle exigeant de Marie Curie Elżbieta Sikora (Institut Polonais de Rome, CDMC a Paris…). Elle participe également à la création colombienne de l’opéra du compositeur Juan Pablo Carreño avec l’ensemble Musicatreize dirigé par Roland Heyrabedian.

 

 

Opéra Magazine

Critique de Zerlina, Don Giovanni W.A. Mozart

« Pierre Thirion-Vallet, directeur général et artistique du Centre Lyrique Clermont-Auvergne, a toujours eu du flair pour dénicher les voix de demain. Il semblerait qu'il ait trouvé une nouvelle pépite».

©DR

Laurent Stocker

Né en 1973 en Champagne, Laurent STOCKER décide de devenir acteur dès l âge de 7 ans. 

Formé aux ateliers Gérard Philipe, il rentre à 20 ans au Conservatoire National Supérieur d'Art Dramatique. 

Il en sort en 1996, et travaille notamment avec Georges Lavaudant et joue en Europe et en Asie. 

Il intègre la Comédie-Française en 2001 et en devient le 511ème sociétaire (depuis Molière) en janvier 2004. 

Il aura la chance d’y jouer les plus grands rôles du répertoire avec des metteuses et metteurs en scène prestigieux, Figaro, Arturo Ui, Le commandeur dans Pedro et le commandeur, les Fables de la Fontaine, la trilogie de la villégiature, Platonov,  Vania entre autres,  sous la houlette de Christophe Rauck, Katharina Thalbach, Omar Porras,  Bob Wilson, Alain Françon, Jacques Lassale, Julie Deliquet et également comédien pour Peter Stein a l Odéon-Theatre de l Europe dans « le prix Martin ». 

Plus récemment, il interprète Harpagon dans l’Avare salle Richelieu dans la mise en scène de Lilo Baur. Il joue dans une cinquantaine de création à la Comédie-Française et ailleurs. 

Parallèlement, Laurent Stocker poursuit une carrière au cinéma et à la télévision avec plus de 40 films à son actif. 

Son rôle de Philibert Marquet de la Durbelière dans « ensemble, c est tout » de Claude Berri lui fait remporter le césar du meilleur espoir masculin en 2008. 

Il enregistre également de nombreux livres audio pour Gallimard « écouter lire ». 

Il fut le récitant de nombreux  opéras pour William Christie, pour la Philarmonie de Paris mais également avec l Orchestre d Ile De France ou encore la maîtrise de Radio France…

Il fut le personnage principal de « en silence », opéra d Alexandre Desplat, d après la nouvelle de Kawabata, donné à Yokohama et Kyoto en 2019. 

 

Laurent Stocker est officier dans l’ordre des arts et des lettres.

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©DR

Allain Bougrain Dubourg

Allain Bougrain Dubourg est né à Paris. Il fonde, dès l’enfance, un Club des Jeunes Amis des Animaux. À 18 ans, il donne des conférences dans les écoles, crée une exposition itinérante afin de sensibiliser à la protection de la biodiversité. Soutenu par Jean Rostand et Jean Dorst, il est lauréat de la Fondation de la Vocation en 1969, puis devient membre du Jury de la Fondation.
En 1973, TF1 lui propose de venir parler des animaux dans les émissions de la jeunesse. Sur Antenne 2, il anime une chronique animalière dans « Un sur cinq » en 1974, puis « Des Animaux et des Hommes » en 1976, en 1978 il crée et produit « Terre des Bêtes »
qui devient « Entre Chien et Loup ». Suivent « Animalia » et la série « À tire d’aile », « Les Cinquièmes Rencontres », magazine consacré aux phénomènes naturels. À la radio, il assure la chronique « Curieux de nature » sur France Bleu puis présente sur France Inter « Vivre avec les bêtes » avec Elisabeth de Fontenay.
De 2015 à 2017, il assure une chronique le dimanche matin. En 2017, il assure une chronique sur Europe 1, depuis août 2020, il anime « On refait la planète » sur RTL, chaque dimanche à 19h15, auprès de Vincent Parizot.
Il est également producteur animateur des émissions « Au nom de la faune », « Journal de la faune » et « Naturellement ». Depuis 1996, il est producteur et réalisateur au sein de la société Nature Productions, consacrée à l’environnement et à l’animalier, diffusée sur France 5 (co-production avec National Geographic), M6, France 2, Canal + …
Chargé de mission au Ministère de l’Agriculture, Allain Bougrain Dubourg multiplie ses actions sur le terrain.
Il reçoit des mains du Commandant Cousteau l’Ordre National du Mérite pour son engagement en faveur de la faune en 1999, puis Commandeur de la Légion d’honneur en 2022. En 2000, il est nommé vice-président de l’Observatoire des Marées Noires. Il préside la Ligue pour la Protection des Oiseaux (LPO) depuis 1986. Il est membre du Conseil National du Développement Durable, du Grenelle de l’Environnement, puis du Conseil National de la Transition Écologique. Membre du CESE, il administre l’École de Chiens Guides d’Aveugles de Paris et la Fondation pour la Recherche sur la Biodiversité, est conseiller auprès d’Océanopolis, co-président du Comité de Rénovation du Zoo de Vincennes et administrateur du Muséum National d’Histoire Naturelle, jusqu’en 2015.
Allain Bougrain Dubourg a été directeur de collection « État sauvage » chez Atlas et est également l’auteur de plusieurs livres. Citons notamment : « Le tour de France des animaux sauvages » (éditions Bias), « Tendres tueurs » avec Yann Arthus-Bertrand (éditions Le Chêne), « La ville en vert » avec Fabrice Dorso, Emeline Bailly, Alain Maugard, Ariane Rozo et Dorothée Marchand (Éditions PC - septembre 2022).

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